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dimanche 12 mai 2024

Droit pénal spécial: quelques définitions en la matière

 

Q/1 : définition du droit pénal ?

-          La branche du droit qui a pour objet l’étude de la réaction répressive de l’Etat à un comportement positif ou négatif ; individuel ou collectif ; ayant occasionné un trouble à l’ordre social. 

Q/2 : Les branches traditionnelles du droit pénal ?

-          Le droit pénal général

-          Le droit pénal spécial

-          La procédure pénale

 

Q/3 : définition de la criminologie ?

-          La science qui étudier les facteurs de l’action criminelle , leur interaction et les processus qui conduisent au passage à l’acte délictueux, ainsi que les conséquences que l’on peut tirer de ces connaissances pour une lutte efficace contre la délinquance

Q/4 : définition De la criminalistique ?

-          L’ensemble des sciences et techniques utilisées en justice pour l’établissement des faits matériels délictueux reportés à leurs auteurs. Elle contienne : la police scientifique , la médecine légale ,la police technique

Q/5 : définition de la médecine légale ?

-          L’ensemble des connaissances médicales permettant la connaissance et l’établissement des causes des certains décès , la nature des violences, la nature et l’origine  des armes employées

Q/6 : définition de la police technique ?

-          Elle s’intéresse à l’étude des procédés purement policiers qui s’attachent aux circonstances du crime

Q/7 : définition  de la police scientifique  ?

 

 

Q/7 : les aspects du particularisme du droit pénal ?

-          Sanctionnateur : assure le respect des règles posées par les autres branches du droit par le moyen des sanctions qui lui st propre. Le gendarme des autres droits.

-          Normatif : détermine des normes à ne pas violer ; pour assurer le respect d’obligations non prévus par les autres lois.

-          Rééducateur :

-          Subsidiaire : complémentaire ; le droit pénal n’a pas de consistance propre.

Q/8 : droit pénal droit public ou privé ?

-          La commission d’une infraction entraine une enquête et des poursuites dont les organes de l’Etat st chargés.

-          C’est au nom de l’Etat que le prévenu est poursuivi

-          La sanction prononcée l’est aussi ds l’intérêt  général .

-          Le droit pénal emprunt ses techniques au droit privé.

-          Enseigner par des prof de droit privé

-          Le droit pénal et le droit privé st basés sur la notion de la faute.

 

Q/9 : définition de l’infraction ?

-          Tout acte contraire à la morale et à la justice

-          « Une action ou omission punie par la loi pénal ; imputable à son auteur et ne se justifier pas par l’exercice d’un droit »

Q/10 : les éléments de l’infraction ?

-          L’élément légal

-          L’élément matériel

-          L’élément moral

Q/11 : définition de l’élément légal?

-          Nulle contravention, nul délit, nul crime, ne peuvent etre punis de peines qui n’étaient pas prononcées par la loi avant qu’ilq fussent commis

Q/1 2: les considérations de l’élément légal ?

-          considération d’ordre politique

-          considération relative à la politique criminelle

-          considération relative à la séparation des pouvoirs

Q/13 : principe légaliste ?

 

Q/14 : définition de l’élément matériel ?

-          Le comportement extérieur de commission ou d’omission, la manifestation extérieure de la volonté délictuelle.  « pas d’infraction sans activité matérielle »

Q/15 : les modalités  de l’élément matériel ?

-infraction de commission :infraction oU le comportement pénal est active , l’action criminelle est positive. Elle s’accompagne tjr d’un comportement concret et d’activité physique du délinquant.

- infraction d’omission :comportement pénal passif : omission de témoigner en faveur d’un innocent, le fait de ne pas porter secours à une personne en danger …

Q/16 : tentative ?

Conception objective : c’est la réalisation de l’infraction attendu que la peine est une sanction du trouble social.GR

Conception subjective : inadmissible d’attendre la consommation de l’infraction pour intervenir. Latin

-          Le commencement de l’exécution

-          Le désistement  involontaire

-          L’intention coupable

Q/17 : définition de la rétroactivité de la loi ?

Une loi ne peut s’appliquer aux situations postérieurement commises.

 

Q/18 : les exceptions  de la rétroactivité de la loi ?

-          *Le législateur décide que la nouvelle loi est rétroactive.

-          *des nouvelles lois interprétatives.

-          *les lois prévoyant des mesures de sureté.

-          *les lois temporaires et de circonstances.

-           

 

Q/19 : les faits justificatifs de l’infraction ?

*accomplissement d’un devoir ordonnée par la loi .

*l’exécution d’un droit : la légitime défense .

*l’état de nécessité

*le consentement de la victime : accepte le préjudice voir l’a ordonné

 

 

 

Q/20 : définition de l’infraction impossible ?

L’infraction dt l’agent n’obtient  aucune résultat ,

Théorie objective Allemagne :

Théorie subjective :

 

 

Q/21 : définition de l’infraction manquée ?

Elle revient à la maladresse ou à l’étourderie de l’agent qui n’obtient de ce fait aucun résultat et qui aurait mieux fait de changer de matériel

*assimilée à la tentative interrompue et reste punissable des même peines que l’infraction consommée.

Q/22 : définition de l’élément moral ?

L’attitude psychologique répréhensible moralement et socialement et qui donne au trouble social causé par la violation de la loi pénale une relation causale avec la personnalité de l’individu qui l’éprouve

 

Q/23 : définition de la faute intentionnelle  ?

La tension vers un but criminel ou antisocial, peut se présenter soit sous forme d’une volonté criminelle générale (dol générale) soit sous forme d’une intention précise (dol spécial)

 

Q/24 : définition du dol général ?

C’est un élément commun à toutes les infractions , c’est l a volonté de consciente de de commettre le délit tel que la loi le prévoit

 

Q/25 : définition du dol spécial ?

Contrairement au dol général le dol spécial ne se conçoit que pour qlqs infractions , il est une intention précise exigée ds certaines infraction comme élément constitutif : dol simple, dol aggravé, dol indéterminé , dol praeter intentionnel ,dol éventuel

 

Q/26 : définition du dol spécial - dol indéterminé- ?

Consiste ds le fait que l’agent cherche un résultat délictueux.

 

Q/27 : définition du dol spécial - dol praeter intentionnel- ?

Quand l’infraction développe des conséquences plus graves que celles prévues par l’agent

Q/28 : définition du dol spécial - dol éventuel- ?

Revient au fait que l’agent , sans rechercher le résultat dommageable qui s’est produit , avait cependant envisagé qu’il pouvait intervenir

Q/29 : définition du dol spécial - dol simple / aggravé- ?

1.L’expression d’une détermination immédiate et spontanée.

2. celui d’une intention criminelle murie

Q/30 : définition de la faute non intentionnelle - ?

Maladresse, imprudence , inattention, négligence ou inobservation des règlements

Q/31 : classification des infractions par nature- ?

-          Infraction politique         - infraction terroriste

-          Infraction militaire

Q/32 : classification des infractions par élément légal- ?

La base est la gravité de l’infraction

1-Crime            2- délit ( correctionnelles +2ans , de police -2ans) 3- contravention 

Q/33 : classification des infractions par matériel- ? /Q37

1-      Instantanée : se caractérise par l’unité de but et des moyens d’action

2-      continue : se caractérise par un seul acte d’exécution et nécessite un certain temps

Q/34 : le délinquant : personne physique - ?

C'est essentiellement l’auteur et le coauteur le complice et le receleur.

Q/35 : l’auteur et le coauteur - ?

La personne à l’origine du trouble social , doué de discernement et apte à la sanction

Q/36 : l’auteur direct - ?

Celui dt la participation est direct , dt le lien causal entre une action criminelle et un résultat dommageable est immédiat

Q/37 : l’auteur intellectuel  - ?

C’est le concepteur du crime ; son cerveau  en quelque sorte. Il n’exécute pas matériellement l’infraction, mais la conçoit et la fait exécutée par autrui

Q/38 : le receleur - ?

C’est la personne qui accepte, après consommation de l’infraction , de cacher ou de dissimuler soit les auteurs  de l’infraction soit le produit de celle-ci.

Q/35 : position vis-à-vis de receleur au maroc - ?

Il le punie tantôt comme infraction autonome tantôt comme acte de complice

Q/36 : le complice - ? rébellion en groupe- associations de malfaiteurs – coalition des fonctionnaires …

Trois systèmes :

1 - le système de la pluralité d’infraction : le complice délit autonome de l’infraction principale.

2 – Carbonnier : le complice est délit dépend de l’infraction principale mais conditionné par elle.

3 – le système de l’unité de l’infraction :les actes accomplis par le complice « empruntent » la criminalité de l’acte réalisé par l’auteur principal, les actes de complices st dépourvus de criminalité propre .

Q/37 : infractions :simple –complexe-d’habitude- ?

Simple : suppose un seul type d’opération matérielle.

D’habitude : est consommée par une seul oppération matérielle mais n’est punisable que lorsque elle es réitérée plusieurs fois .

Complexe : infraction simple dt la consommation suppose l’accomplissement de plusieurs actes matériels qui ont une nature diffirente.

 

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